Chénopode à grappes, Ansérine à épis, Chénopode botryde, Herbe à printemps.

Photographies

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Plante dressée, plus ou moins ramifié dès la base (selon qu'elle est isolée ou mêlée à d'autres plantes).

Au sein des abondantes inflorescences, on distingue :
 - les tiges, rudes et cannelées
 - les feuilles, réduites, profondément découpées en lobes obtus.
Les inflorescence sont des ensembles de glomérules compactes organisés sur des sortes d'épis (les panicules) assez longs.

Chaque panicule comporte de multiples petits ensembles de 3 à 5 petites fleurs globuleuses en 5 parties (visibles à gauche de la photo).
Les petites expansions qui en émergent sont des styles (ou des étamines).

Pour en savoir plus

Références:	Dysphania botrys (L.) Mosyakin & Clemants Synonymes: Chenopodium botrys; voir T.B Code nomenclatural: bdtfx-nn-101176 Code   taxonomique: 2340
Signes particuliers:	Plante de 0,2 à 0,60 m., pubescente et visqueuse à odeur de pétrole. Les feuilles inférieures sont ovales et pétiolées. Les feuilles de la tige, petites , ont une forme qui évoque celle du chêne.
Mode de vie:	Plante annuelle. Floraison de VI à VIII. Héliophile . Thermophile
Biotope:	Milieux sableux et secs : c'est une des plantes caractéristiques des sables exondés de la Loire à l'étiage.
Fréquence locale:	Peu fréquente ; néanmoins assez présente sur site favorable.
Usages:	Pas d'usage spécifique.
Histoire & histoires:	Etymologie:  - Dysphania : mot formé de deux racines grecques    - dys : difficulté, mauvais état   - phaneros : apparent  L'extrême réduction des fleurs rend leur apparence difficile à interpréter  - botrys : de la même famille latine que botryo (onis), « en forme de grappe ». Ceci en évocation des épis de glomérules de l'inflorescence.  Botrys est aussi, et pour la même raison, le nom latin de l'armoise. Plante d'origine méditerranénne.

Dernière modification le : 2020-05-23

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